Cette année, Guillaume Canet a délaissé les caméras pour se consacrer à sa première passion : l’équitation. Dans un entretien avec le site du Monde, l’acteur en dit plus sur son amour pour ce sport.
Guillaume Canet parle de sa passion pour l’équitation

Le 16 juillet prochain, Guillaume Canet sera à l’affiche de L’Homme qu’on aimait trop, le nouveau film d’André Téchiné. Mais avant de s’atteler à la promotion aux côtés de Catherine Deneuve et Adèle Haenel, l’acteur a décidé de mettre sa carrière sur pause le temps de s’adonner à sa première passion : l’équitation à haut niveau. Depuis le film Jappeloup, le compagnon de Marion Cotillard a en effet repris la compétition et ce week-end, il était d’ailleurs à Saint-Tropez, à l’occasion de la compétition Athina Onassis Horse show.
Guillaume Canet a participé à la compétition avec ses deux chevaux, Babèche et Pomme du Valon, et il en a dit plus sur ses sensations au site Le Monde.fr. Apparemment heureux de son résulat, il raconte : « Au barrage j'ai fait une barre et fini à la 10 e place mais si on m'avait dit hier que j'allais faire ce sans faute dans la première manche, je n'y aurais pas cru. C'était la première fois que je faisais une épreuve aussi grosse que celle-là ».
L’acteur en profite aussi pour parler de ses deux fidèles destriers : « J'ai amené deux chevaux, un qui s'appelle Babèche, qui a dix ans, que j'ai acquis il y a pas longtemps et une jument, selle français, Pomme du Vallon que j'ai depuis le mois d'octobre dernier. Avec Pomme du Vallon je fais les épreuves de vitesse et Babèche, c'est mon cheval pour faire les grands prix. Babèche m'a été présenté par mon coach et un ami m'a parlé de Pomme ».
En pleine écriture d’un scénario
Si Guillaume Canet profite de cette interview pour s’épancher sur sa passion des équidés, il n’en oublie pas le cinéma. Ainsi, le réalisateur de Blood Ties révèle qu’entre deux sauts de haie, il travaille actuellement sur un nouveau projet : « J'écris un scénario en ce moment et donc je peux m'organiser comme je veux pour m'entraîner. J'ai trois films qui sortent cette année, c'est que de la promotion, ça me prend moins de temps qu'un tournage. Depuis que je me suis remis à la compétition, ça m'apporte beaucoup de choses et ça me fait prendre un recul nécessaire sur mon métier ».
Par Anais Orieul