Vendredi 27 novembre 2020, Anne-Elisabeth Lemoine recevait Line Renaud sur le plateau de 'C à vous'. Sur France 5, la chanteuse et comédienne a évoqué la mort de sa mère avec beaucoup d’émotions. Non Stop People vous donne plus de précisions.
Line Renaud en larmes, ses tristes confidences sur la mort de sa mère
"Maman je veux mourir". Cette phrase, c’est Line Renaud qui l’a prononcée durant son accident vasculaire cérébral dont elle a été victime en avril 2019. Un AVC que Line Renaud a longtemps caché au public, de peur d’avoir "l’étiquette AVC collée sur le front" et qu’"on ne [lui] confie plus de rôles", comme elle le disait dans les pages de "Paris Match". Prétextant une mauvaise chute, Line Renaud avait été hospitalisée. Ce n’est que dans son autobiographie "En toute confidence" que la comédienne et chanteuse de 92 ans a rétabli la vérité. Un "mensonge" qui "pesait", comme l’a confié Line Renaud face à Laurent Ruquier dans l’émission "On est en direct" sur France 2. Aujourd’hui, Line Renaud va mieux.
"Je pense tout le temps à ma mère"
Ce vendredi 27 novembre 2020, elle était l’invitée d’Anne-Elisabeth Lemoine dans "C à vous" sur France 5. Line Renaud s’est confiée sur un sujet qu’elle n’évoque pas souvent : la disparition de sa mère. Simone Renard est décédée en 1999 des suites d’une longue maladie. Un souvenir douloureux pour Line Renaud. La comédienne n’a su contenir son émotion en évoquant la mort de sa mère. "Je pense tout le temps à ma mère. Rien que d'en parler j'ai les larmes aux yeux", a-t-elle commencé face à Anne-Elisabeth Lemoine. Avant d’ajouter : "J’ai vu ma mère tellement souffrir, c'est pour ça que j'ai rejoint l'association 'Mourir dans la dignité', parce que j'ai vu ma mère tellement souffrir, tellement souhaiter de mourir, et elle ne pouvait pas, on ne pouvait rien faire". Line Renaud mène plusieurs combats associatifs. En 1994, elle a co-fondé le Sidaction. Depuis 2017, Line Renaud est marraine de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité. Un combat qui lui tient beaucoup à coeur.
Par Matilde A.