Star du cinéma dans les années 80, Valérie Mairesse a côtoyé de nombreux acteurs à travers sa carrière. Et parmi toutes ses rencontres, s’il y en a bien une qui l’a marqué c’est celle de Coluche. En effet, alors que Valérie Mairesse incarnait le rôle de sa fiancée dans le film Banzaï, Coluche se serait permis de se rapproche de l’actrice. Cette dernière dévoile d’ailleurs les dessous de cette histoire dans les colonnes de Gala.
Valérie Mairesse : ses coquines révélations sur Coluche

C’est dans les années 80, que la carrière de Valérie Mairesse décolle. Alors que cette dernière décide de quitter la troupe du Splendid et le théâtre, l’actrice se tourne donc vers le monde du septième art. Après plusieurs films à succès comme Le coup du Parapluie, ou encore Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ, Valérie Mairesse accepte le scénario d’un tout autre film, celui de Banzaï. Film dans lequel l’actrice à la tignasse rousse, joue la fiancée de Coluche.
Et il faut croire que le joli minois de Valérie Mairesse n’a pas laissé l’humoriste indifférent. C’est du moins ce que l’actrice a confié lors d’un entretien qu’elle a accordé à nos confrères de Gala. « C’était pendant le tournage de Banzaï. Il m’a même offert un vison bleu. Côté sentiments, il était fataliste. »
"Il savait qu’il n’avait aucune chance"
Valérie Mairesse se rappelle d’ailleurs que Coluche avait bien compris qu’il ne pourrait jamais faire de l’actrice sa compagne. Des propos de la part Coluche qui respirent pleinement la fatalité, et que Valérie Mairesse rapporte à Gala, de façon presque nostalgique. « Moi, je suis un soupirant de plus sur la liste. Comme tout le monde. »
Alors que Coluche était clairement tombé sous le charme de la belle Valérie Mairesse, l’actrice de son côté, ne semblait pas partager ce coup de foudre, loin de là. « Il savait qu’il n’avait aucune chance, confie l’actrice. Je n’aimais que les jolis garçons. Toute ma vie, sans doute par immaturité, j’ai voulu que l’amour soit comme au cinéma. Je ne supportais plus quand ça cessait d’être extraordinaire. Je m’en allais. »
Par Nataly Salmeron