On l'a appris cette semaine : Audrey Crespo-Mara a récemment porté plainte contre un mystérieux youtubeur, qui se revendique lui-même comme un "journaliste gilet jaune". Retour sur l'affaire avec Simon Marty dans Morandini Live, sur CNews et Non Stop People.
Morandini Live : Audrey Crespo-Mara porte plainte contre un youtubeur "gilet jaune" (vidéo)
Difficile de passer à côté de ce phénomène 2.0. Sur Youtube, un homme qui répond au pseudo d'Isadora Duncan publie régulièrement sur sa chaîne des vidéos le montrant en train d'accoster en pleine rue des personnalités publiques. Que ce soit des personnages politiques, des journalistes, des chanteurs ou des acteurs, celui qui se revendique comme étant "journaliste gilet jaune" n'hésite pas à aller à la confrontation. Certaines de ses méthodes ont d'ailleurs souvent été décriées, tandis que de nombreux clashs ont éclaté dans ces vidéos vues par des milliers d'internautes. Cette semaine, on apprend qu'Audrey Crespo-Mara a porté plainte contre Isadora Duncan pour harcèlement. Selon les informations de BFM TV, le youtubeur a été placé en garde à vue mardi 7 mai au commissariat du 15e arrondissement de Paris.
Un ancien paparazzo
Mais au fait, qui est vraiment Isadora Duncan ? Ce jeudi 9 mai, c'est Simon Marty qui a apporté de plus amples informations sur le personnage, dans Morandini Live : "Il s'agit d'un dénommé Marc Rylewski, 49 ans, paparazzo de son état qui s'est proclamé journaliste des gilets jaunes" a-t-il expliqué. "À son palmarès on compte par exemple Jean-Michel Aphatie, Bernard Tapie, Franck Dubosc ou encore Laurent Ruquier." Un gilet jaune youtubeur dont les motivations semblent très claires : "parvenir à faire sortir les personnalités de leurs gonds, pour ensuite diffuser les séquences sur sa chaîne." L'une de ses "cibles préférées" ? Audrey Crespo-Mara. "Le couple star qu'elle forme avec Thierry Ardisson réveille l'appétit sensationnaliste de l'ancien paparazzo" estime Simon Marty. Sauf que cette fois-ci, la journaliste a choisi de contre-attaquer. Le youtubeur gilet jaune sera jugé cet automne et encourt jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30,000 euros d'amende.
Par Sarah Mannaa