Engagée dans la lutte contre les violences policières, Camélia Jordana a confié pourquoi elle ne relâche rien dans ce combat sur BFMTV ce lundi 31 août. Non Stop People vous en dit plus.
Camélia Jordana : Pourquoi elle ne relâche rien dans son engagement contre les violences policières
Présente à la fois dans la musique et au cinéma, Camélia Jordana fait aussi entendre sa voix dans la lutte contre les violences policières. Ces derniers mois, la chanteuse a davantage fait parler d'elle pour son engagement et la polémique suscitée par ses propos dans "On n'est pas couché". Malgré les critiques notamment de la part de Christophe Castaner, alors ministre de l’Intérieur, la chanteuse a été heureuse d’avoir lancé un débat en France sur les violences policières. "J’étais contente, cela n’a pas été dur à vivre. Le militantisme ça donne la pêche, on se rend compte qu’on n’est pas seul(e), ça donne place à un mouvement, ça fait grandir de manière assez égale une force et une colère. C’est exactement ce que je voulais faire sur ce plateau: ouvrir un débat", a-t-elle confié dans Le Monde en juillet dernier.
Camélia Jordana s'accroche aux combat à mener
A l'occasion d'un portrait qui lui a été consacré sur BFMTV ce lundi 31 août, Camélia Jordana est revenue sur le récent soulèvement autour de l’affaire Adama Traoré, a rapporté Télé-Loisirs. "Il se passe des choses dans l'enquête sur Adama aujourd'hui qui auraient dû se passer à la seconde où Adama Traoré est mort. Et ça arrive 4 ans après parce qu'il y a une prise de conscience nationale, et parce qu'il y a 120 000 personnes", a expliqué la chanteuse qui avait participé en juin dernier à la manifestation pour demander justice pour Adama Traoré et contre les violences policières commises en France. Sur son engagement qu'elle assume pleinement, Camélia Jordana a confié pourquoi elle ne relâche rien : "Il y a tellement de combats à mener que je m'accroche férocement, parce que si j'en parle pas, je deviens folle je pense".
Cinéma, musique... Portrait de Camélia Jordana
— BFMTV (@BFMTV) August 31, 2020
Par Marie Merlet