Au lendemain de l’attentat qui a eu lieu dans les locaux de Charlie Hebdo, la France est toujours en état de choc. De nombreuse personnalité ont témoigné leur tristesse ainsi que leur colère, comme Zazie, la nouvelle jurée de The Voice.
Charlie Hebdo : Zazie « Ce n'est pas que la liberté de la presse qu'on attaque, c'est notre humanité »

L’attentat qui a eu lieu ce mercredi 7 janvier dans les locaux du journal Charlie Hebdo a traumatisé la France et tous ses citoyens. Des nombreux personnages politiques ont pris la parole en appelant notamment au peuple français de rester soudés.
Mais ils ne sont pas les seuls, de très nombreux artistes ont eux aussi choisi de laisser un message que ce soit par le biais des réseaux sociaux, ou dans les médias.
Alors que la quatrième saison de The Voice débutera à partir de ce samedi 10 janvier, Zazie, le nouveau coach de l’émission a tenu elle aussi à témoigner sa tristesse.
« ne pas oublier que notre petit pays est celui des Droits de l’Homme »
Et c’est via son compte Facebook officiel, que l’interprète de Zen a voulu faire passer son message.
« On pourrait aussi… soutenir Charlie Hebdo, car quand on les attaque aussi lâchement, ce n’est pas que la liberté de la presse qu’on attaque, c’est notre humanité. On pourrait, ou plutôt on doit, on peut, on veut continuer à dire ce qu’on pense, à faire preuve d’humour, à dessiner, à caricaturer, à ne pas oublier que notre petit pays est celui des Droits de l’Homme, que cette liberté est plus forte, tellement plus forte, que l’action débile et abominable de quelques décérébrés.
Bref, si on se disait qu’on pourrait en 2015 être un peu plus comme on est, c’est à dire des êtres humains... »
« ce n’est pas que la liberté de la presse qu’on attaque, c’est notre humanité »
Zazie qui sera dès ce samedi 10 janvier à l’antenne de TF1 dans la nouvelle saison de The Voice, a donc elle aussi apporté son soutien à ce drame qui a secoué la France ce mercredi 7 janvier.
Espérons que l’année 2015 soit, comme elle le dit, placée sous le signe de l’humanité.
Par Nataly Salmeron