Dimanche, Oldelaf répondait aux questions de Mickaël Dorian dans "Good Morning Week-end" sur Non Stop People. Le chanteur est revenu sur le succès de son titre "La Tristitude" et sur les conséquences de cette soudaine popularité.
Oldelaf : comment "la Tristitude" a changé sa vie (exclu vidéo)
En 2011, Oldelaf signe son premier album studio (en dehors des albums pour enfants) "Le monde est beau". Le single de l’opus "La Tristitude" - une contraction entre tristesse et solitude selon l’artiste – rencontre rapidement un franc succès. Un triomphe qui a changé la vie de son auteur comme il l’a expliqué dans "Good Morning Week-end" sur Non Stop People dimanche 1er mars. Quelles ont été les conséquences du succès de "La Tristitude" ? "Ça a été une surprise, car il est resté dans un tiroir pendant un petit moment. Je l’ai ressorti, ça m’a fait rire. Mon manager et la prod m’ont dit 'il y a peut-être un truc à faire'", raconte-t-il dans un premier temps. "Je suis venu la jouer sur Europe 1 avec Michel Drucker. Il y a eu vraiment un twist en octobre 2011. C’était le jour de la sortie. Je venais faire la promo", poursuit l’artiste.
Oldelaf chroniqueur sur Europe 1 pendant deux ans
"Ce jour-là, les patrons d’Europe 1 sont venus et m’ont dit ‘mais qu’est-ce qu’il se passe ? Il y a une effervescence qui fait que tu vas revenir’. Je suis resté deux ans à faire des chroniques alors que je venais juste faire de la promo. On ne m’a jamais laissé ressortir d’Europe 1 donc tant mieux", raconte le chanteur qui est donc devenu chroniqueur radio pendant deux ans. "Ce qui a changé, c’est que ça m’a permis d’être reconnu par les gens du métier. […] Avant "Le Café" a été un gros succès, mais populaire", ajoute Olivier Delafosse de son vrai nom. Dans "Good Morning Week-end" sur Non Stop People, Oldelaf a également poussé un coup de gueule contre le monde de la musique, lui qui est rangé depuis ses débuts dans la case des "chanteurs humoristes". Un milieu dans lequel l’artiste a eu beaucoup de mal à se faire accepter, contrairement aux humoristes qui l’ont accueilli à bras ouverts.
Par Ambre L