Depuis quelques jours maintenant, le livre de Patrick Buisson, l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, fait des remous. En effet, il n’hésite pas à faire de nombreuses révélations sur les coulisses de son quotidien avec l’ancien Chef de l’Etat. Et d’après ses dires, Nicolas Sarkozy serait très fier du physique de Carla Bruni au point même de demander à ses collaborateurs de la regarder. Non Stop People vous en dit plus.
Nicolas Sarkozy fier de la poitrine de Carla Bruni
Dans "La Cause du peuple", Patrick Buisson, l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy fait de nombreuses révélations sur son quotidien avec l’ancien Président. Et dans les premières pages de son ouvrage, il relate notamment que ses affaires de couple impactaient sur son travail. "Pour qui observait Nicolas Sarkozy en ce début de l’année 2008, le doute n’était pas permis : les changements intervenus dans son état matrimonial avaient profondément modifié son rapport aux affaires de l’État. (…) Il signalait à l’unité près le nombre de paparazzi embusqués, chaque matin, en contrebas de la rue Pierre-Guérin, à quelques dizaines de mètres de l’hôtel particulier de Carla Bruni où vivait désormais le couple".
"Nicolas Sarkozy s’extasia sur le décolleté de son épouse"
Et d’ajouter à propos de celui qui s’est fait taclé par Patrick Timsit : "Puis venaient les considérations comparatives sur ses épouses successives qu’il développait sans plus de tact : “Carla est belle, hein ? Et en plus, elle en a là-dedans”, disait-il en pointant l’index à son front. Puis, dans un sourire qui se voulait complice : “Ça me change…”. Enfin, Patrick Buisson a même évoqué le fait que Nicolas Sarkozy, qui s’est comparé à Rocco Siffredi, demandait à ses collaborateurs de reluquer Carla Bruni. "Comme à son habitude, Carla fit son entrée dans le salon vert (de l’Élysée) avec cette démarche ondulante qu’elle réservait jadis aux tapis des podiums. Porté par une joie impétueuse, Nicolas Sarkozy, qui ne tenait plus en place, s’extasia sur le décolleté de son épouse et nous invita sans vergogne à faire de même".
Par N.D