Christian Quesada : Les révélations choc d’une ex-candidate des "12 coups de midi"

Dans son numéro de ce vendredi 5 avril, Closer dévoile une interview d’une ancienne candidate des "12 coups de midi", diffusé sur TF1. Prénommée Émeline, la jeune femme fait des révélations pour le moins surprenantes auprès de nos confrères. Au cours de son passage à l’émission lors de l’été 2016, cette dernière a eu l’occasion de croiser Christian Quesada. Pour rappel, le champion du jeu télé a été mis en examen le 27 mars dernier puis placé en détention provisoire pour "corruption de mineur", mais également "détention et diffusion d’images pédopornographiques". L’ex-candidat, qui avait déjà des antécédents judiciaires, a été condamné par le passé trois fois dans les années 2000 pour des "comportements déviants envers des mineurs".

Émeline décide aujourd’hui de sortir de l’ombre et de s’exprimer sur cette affaire qui fait polémique depuis qu’elle a été annoncée au grand public. Pour Closer, elle a accepté de raconter la journée de tournage de l’émission, qui s’est notamment soldée par un déjeuner avec Christian Quesada. "On avait pas mal discuté", se souvient-elle, "ensuite, il m’avait retrouvée sur Facebook et Twitter et il m’avait envoyé un message privé". Lors de cette prise de contact rapide, Christian Quesada lui avait alors précisé "qu’il avait bien aimé jouer avec elle", "qu’il avait fait une belle rencontre et qu’il était content de voir qu’il y avait des jeunes qui avaient de la culture générale".

Un candidat manipulateur ?

Les deux anciens candidats de l’émission ont ensuite "continué à échanger" de manière "amicale et sans équivoque" sur divers sujets et "prenaient des nouvelles". Les discussions n’avaient rien d’alarmant jusqu’à ce fameux mois de janvier 2018 où il lui a "envoyé des photos de son sexe", alors qu’il "ne l’avait jamais draguée" auparavant. Prétextant une chute sur une "plaque de verglas" et à cause de laquelle "il s’était tordu le kiki", Christian Quesada a envoyé à Émeline "trois photos de son pénis", tandis qu’elle "n’avait rien demandé" et lui avait rétorqué au préalable que "son avis" sur la question "n’était pas nécessaire".

Quelque peu interloquée par la démarche de son interlocuteur, la jeune femme n’a pourtant pas été indignée. "J’étais convaincue qu’il était maladroit, mais qu’il n’avait pas voulu m’envoyer des photos cochonnes", raconte Émeline, qui a "vraiment pris ça comme une photo d’un bras dans le plâtre ou d’une cheville foulée". Avec le temps et les événements, elle explique s’en vouloir quelque peu "de ne pas avoir vu le caractère sexuel de son message" et a le "sentiment d’avoir été manipulée".

Par Nina Siahpoush-Royoux