Michel Cymes était l’invité de "Quotidien" ce lundi 16 novembre 2020. Face à Yann Barthès, le docteur le plus connu du PAF a appelé au "bon sens" des Français alors que certains prévoient de se réunir pendant les fêtes de fin d’année. Non Stop People vous donne plus de précisions.
Coronavirus : Michel Cymes appelle au "bon sens" des Français dans Quotidien
Pourra-t-on célébrer les fêtes de fin d’année en famille ? La question est sur toutes les lèvres et fait débat dans les médias. Si certains assurent que le gouvernement pourrait lever le confinement au 1er décembre prochain, d’autres ont d’ores et déjà prévu de ne pas célébrer Noël en famille afin d’éviter une éventuelle propagation du coronavirus. Invité de "Quotidien" ce lundi 16 novembre 2020, Michel Cymes a donné son opinion sur le sujet. Le médecin le plus connu du PAF appelle au "bon sens" des Français et s’oppose aux réunions de famille avant qu’un vaccin soit disponible.
"Il faut être raisonnable"
"J'aimerais bien savoir si le 1er décembre on pourra sortir. Je n'en sais rien (...) Je crois qu'il faut être raisonnable. C'est compliqué quand on voit le nombre de rassemblements pour les prières. A un moment, il faut que tout le monde soit très raisonnable. On va pas pouvoir se réunir en famille comme tous les ans, c'est comme ça. Il faut juste un petit peu de bon sens. Ce vaccin va arriver début 2021, je pense", a déclaré Michel Cymes. Si l’animateur de France 2 appelle aujourd’hui "au bon sens" des Français, il s’était opposé au port du masque dans la rue. Alors que le port du masque est obligatoire dans les lieux publiques, entreprises, restaurants, écoles, ainsi que dans la rue dans plusieurs grandes villes françaises, Michel Cymes jugeait cette obligation inutile dans certains contextes. "Moi, par exemple, je ne porte pas de masque dans la rue, parce que j’estime que ça ne sert à rien, sauf si on est dans une rue bondée, parce que commerçante, parce qu’on croise pleins de gens", a-t-il expliqué dans "On est en direct" sur France 2 face à Laurent Ruquier.
Par Matilde A.