Le 25 février dernier se tenait la remise des Prix Feroz à Madrid. Lors de la conférence de presse, Victoria Abril s'est lâchée et a ouvertement critiqué Emmanuel Macron après avoir dénoncé un "coronacircus". Non Stop People vous en dit plus.
Emmanuel Macron : Victoria Abril s'en prend au président et dénonce un "coronacircus"
La saison des cérémonies de remises de prix est lancée ! Dimanche 28 février 2021 se tenait aux États-Unis la 78e cérémonie des Golden Globes durant laquelle l’acteur Chadwick Boseman a été récompensé à titre posthume. Quelques jours avant, c’est la remise des Prix Feroz qui se déroulait à Madrid.
Invitée à la fameuse soirée qui met à l’honneur le cinéma espagnol, l’actrice Victoria Abril a débarqué sans masque sur scène avant de faire grand bruit durant la conférence de presse. La comédienne espagnole de 61 ans, qui jouait dans la série "Clem", a en effet tenu à donner son avis sur la crise sanitaire : "C’est le coronacircus. C’est comme un feuilleton télévisé, il y a la première vague, la deuxième, on en est à la troisième avec le variant anglais, il va y avoir le variant californien, le sud-africain, qui est plus grave, le brésilien…" a-t-elle lancé.
Victoria Abril critique Emmanuel Macron
Visiblement agacée par la gestion mondiale de la crise du coronavirus, l’actrice a continué sa tirade : "J’en ai assez de cette farce. On ne peut pas vivre dans la peur. Il y a quelque chose de pire que de perdre la vie, c’est de perdre la raison de vivre. Alors ça suffit, non ?" a-t-elle déclaré en évoquant Emmanuel Macron qui selon elle, "porte atteinte aux libertés fondamentales". "On ne va pas au restaurant, à une exposition, on ne va pas danser… On ne peut pas se rencontrer depuis un an" a-t-elle ajouté.
L’actrice - qui a choisi de rester en Espagne où les restrictions sont moins strictes - a ensuite fait part de ses appréhensions en ce qui concerne la vaccination : "Ils nous ont transformés en cobayes. Les effets du vaccin ne sont pas connus", a-t-elle lancé avant de se faire interrompre par Maria Guerra, présidente de l’AICE (Asociación de Informadores Cinematográficas de España), qui animait la conférence. "Laissez-moi parler ! Ils nous empoisonnent ! Si je dois passer pour une complotiste, alors soit." a-t-elle continué.
Par E.S.