Ce lundi 8 mars, Florence Floresti était conviée sur le plateau de "Quotidien". L'humoriste est revenue sur la crise sanitaire, les mesures mises en place par le gouvernement et a même évoqué le grand point positif de ce couvre-feu instauré à 18 heures.
Florence Foresti : Cet effet bénéfique du couvre-feu qu'elle évoque avec amusement
Voir la vie du bon côté semble être l'une des devises de Florence Foresti. Le monde fait face à une situation inédite depuis l'arrivée du coronavirus, mettant à l'arrêt de nombreuses activités. L'univers de la culture est particulièrement touché par la crise sanitaire et les artistes n'en peuvent plus. Les annonces s'enchainent et se ressemblent tristement. Report, annulation... Les spectacles et autres représentations deviennent un lointain souvenir. Le 9 octobre dernier, Florence Foresti a annoncé une triste nouvelle à ses fans. Alors qu'elle préparait un nouveau show, cette dernière a dû l'interrompre en raison de la pandémie de coronavirus. "Je suis triste et désolée de devoir annuler ce spectacle pour revenir avec celui des jours meilleurs. Je reviendrai plus forte (et clairement un peu plus vieille)", avait-elle expliqué en story Instagram. Si elle était déçue, elle a tout de même réussi à trouver un point positif à cette situation.
"ce n'est pas moi, c'est Castex"
Ce lundi 8 mars, Florence Foresti était présente sur le plateau de "Quotidien" et s'est laissée aller à de tendres confidences au sujet de sa fille. Celle qui a présenté la cérémonie des César en 2020 est également revenue sur la situation actuelle qui n'est pas toujours facile. Néanmoins, face à Yann Barthès, elle a énoncé un aspect bénéfique pour tous les parents. "Les petits, c'est dur mais nous ça nous arrange, les parents, comme ça, ils ne sortent pas le soir, vous comprenez. 'Couvre-feu chérie, ce n'est pas maman qui ne veut pas, c'est le gouvernement. Tu fais tes devoirs, ce n'est pas moi, c'est Castex'", a-t-elle confié avec amusement. Eh oui, les parents ne passent pas pour "les méchants" en cette période de couvre-feu.
Par Solène Sab