Dur de concilier vie professionnelle et vie privée. Harry Roselmack déclare pourtant avoir trouvé un équilibre entre les deux. Interviewé par « Télé-Loisirs », le journaliste insiste ne jamais vouloir laisser son travail prendre le dessus.
Harry Roselmack ne reviendra pas au 20h de TF1 !

Un père présent
Il n’est pas rare qu’il se laisse photographier lors de soirées animées, pour ne pas dire arrosées. Logique, étant donné son métier. Etre journaliste implique de sortir, de rencontrer du monde, de se mêler à la foule, communiquer. Toutefois, Harry Roselmack ne manquerait pour rien au monde un moment passé avec sa famille. « Je profite de mes enfants », confie-t-il à Télé Loisirs.
Et ceux-ci lui rendent bien. En dépit de son emploi du temps chargé, la famille de l’animateur semble n’avoir rien à lui reprocher. « Je les [mes enfants] vois grandir. Je les accompagne, moins que leur maman c'est vrai, mais je les accompagne quand même sur les chemins quotidiens de leur vie. J'ai trouvé un équilibre qui est satisfaisant pour tout le monde. Je n'ai pas encore eu de plaintes intrafamiliales ».
L’équilibre parfait
Et s’il n’y avait que le travail ! Harry Roselmack joue, par ailleurs, un rôle actif dans la lutte contre le racisme. Une cause qui, outre ses responsabilités parentales, le consume totalement, si bien que le journaliste ne cherche pas particulièrement à retrouver une place au journal de TF1. Sans compter que ses postes actuels lui laissent une plus grande liberté en termes d’horaires. « Je ne m'imagine pas y revenir, confesse-t-il. La raison pour laquelle j'ai fait du journalisme, c'est parce que les gens m'intéressent, ce qu'ils sont, ce qu'ils font et pourquoi… Et ça, je le trouve davantage dans l'Immersion et dans Sept à Huit que dans le JT ».
Pareille dévotion explique pourquoi Harry Roselmack figure souvent en tête de classements des pères les plus sexy. Heureusement que ses deux filles de 6 et 7 ans, ainsi que son petit garçon de quatre ans ne le voient pas ainsi. « Mes enfants ne s'adressent pas à moi comme à un journaliste qui travaille, explique-t-il, mais comme à un papa qui doit les éclairer sur telle et telle question ».