Invité sur le plateau de "Télématin" avec Kev Adams ce 27 septembre pour faire la promotion du film "Alad’2", Jamel Debbouze a très mal pris une remarque de la journaliste sur son âge. Non Stop People vous en dit plus.
Jamel Debbouze agacé : pourquoi la remarque d’une journaliste sur son âge n’est pas passée
Voilà un humoriste qui a bien du mal avec son âge. Jamel Debbouze était l’invité de l’émission "Télématin" sur France 2 avec Kev Adams ce jeudi 27 septembre. Interviewé à l’occasion de la sortie du film "Alad’2" dans lequel il incarne le personnage secondaire Shah Zaman, l’acteur a coupé court aux questions de la journaliste Charlotte Bouteloup après une remarque désagréable. "Jamel, un conseil de vétéran, quel conseil vous donneriez à un jeune humoriste ou un jeune acteur qui veut monter sur scène ou passer derrière la caméra? A part Travaille, travaille, travaille ?" lui demande-t-elle. Vétéran, un adjectif maladroit et qui ne passe pas pour Jamel Debbouze qui rétorque aussitôt "D'abord, c'est ta mère la vétérante". Loin de perdre la face, la journaliste lui répond en riant "Mais elle t’embrasse."
Une question "méprisante" pour l’humoriste
Refusant de répondre à la question, le créateur du "Marrakech du Rire" s’adresse à la caméra et adresse un dernier message à la mère de la journaliste, avant de quitter le plateau : "sans vouloir manquer de respect, madame, avec tout le respect que j'ai pour vous, votre fille vient de m'en manquer. C'est la raison pour laquelle j'étais obligé de rétorquer. Maintenant, pour répondre à ta question... nulle: mon conseil, Kev, c'est qu'on se casse. Hein, on se barre? Avec autant de mépris, on se barre!" La scène, qui ne dure que quelques secondes, a semblée beaucoup amuser Kev Adams. Petit rire nerveux ou admiratif pour la répartie du comédien de 43 ans avec lequel il partage l’affiche de son nouveau film, le jeune homme a simplement répondu "Moi je suis d’accord !". Quelques remerciements polis et mutuels ont donc brutalement conclu l’entretien. L’acteur sera sur grand écran dès le 3 octobre dans le nouveau film "Alad’2" de Lionel Steketee.
Par Nina Siahpoush-Royoux