Dans Télématin le samedi 10 avril, Laurent Bignolas a déclenché une polémique avec des propos douteux. Visé par une blague jugée raciste, le chorégraphe Sadeck Waff a réagi dans TPMP ce lundi 12 avril. Non Stop People vous en dit plus.
Laurent Bignolas : le chorégraphe visé par une blague raciste évoque l'appel de l'animateur

Les propos inappropriés de Laurent Bignolas ont déclenché la polémique. Dans Télématin ce samedi 10 avril, la chroniqueuse Julia Livage a présenté la dernière création du chorégraphe niçois Sadeck Waff, inspirée des vols de nuées d'oiseaux. "L'idée, c'est de répliquer le vol des oiseaux uniquement grâce à des mouvements de bras", a-t-elle expliqué. Pour commenter les images de la performance, Laurent Bignolas a alors lâché : "C'est une bonne idée, pour tous ceux qui ont l'habitude de voler... Mais dans les grands magasins seulement, et comme ils sont fermés, bah voilà, autant faire de la 'chourégraphie' !". La séquence a interpellé de nombreux téléspectateurs et Sadeck Waff qui a ensuite obtenu des excuses de Télématin.
Laurent Bignolas a appelé le chorégraphe
"Cher Sadeck Waff, chers téléspectateurs, Nous vous présentons nos sincères excuses pour ces mots totalement inappropriés et involontairement blessants. Ils ne reflètent en rien le respect que nous avons pour votre travail, celui que nous avons souhaité mettre en lumière hier", a écrit la matinale de France 2 sur Twitter ce dimanche 11 avril. Invité dans Touche pas à mon poste ce 12 avril, Sadeck Waff a réagi à la blague jugée raciste : "Je l'ai pris très personnellement avec ma couleur de peau et mes origines". Mais le chorégraphe a assuré qu'il n'a "rien contre Laurent Bignolas" avant de révéler que l'animateur l'a appelé pour lui présenter ses excuses. "Il m'a appelé pour s'excuser donc c'est cool. Encore une fois, je n'ai rien contre la personne mais c'est juste le message... Il m'a dit que c'était maladroit, que ce n'était pas intentionnel. Après c'est cool que ça ait pris cette ampleur parce qu'il faut que ça s'arrête ce genre de phrases", a-t-il assuré.
Par Marie Merlet