Philippe Bouvard vient de sortir un tout nouveau livre "Des grumeaux dans la passoire". Dans cet ouvrage, le journaliste y dévoile des anecdotes et évoque plusieurs personnalités de l’audiovisuel. Philippe Bouvard ne se montre toutefois pas tendre envers Laurent Ruquier. Non Stop People vous en dit plus.
Laurent Ruquier : Philippe Bouvard en remet une couche sur son successeur
A l’approche de ses 91 ans, Philippe Bouvard a sorti un tout nouveau livre intitulé "Des grumeaux dans la passoire", dans lequel il retrace son parcours. Loin d’avoir sa langue dans la poche, le journaliste n’hésite pas dans son ouvrage à égratigner certains de ses confrères. Lors d’un entretien avec David Barbet sur Télépro, Philippe Bouvard en a dit plus sur ses propos dans son livre, notamment concernant Cyril Hanouna : "Quand il est arrivé sur France Télévisions, il m'a téléphoné mais ça n'a pas eu de suite pour un projet. Une autre fois, il m'a téléphoné pour me dire qu'il serait comblé si je disais un mot aimable sur lui. Alors comme je suis gentil, je l'ai dit mais sans trop le penser".
"Il pensait que ma carrière était terminée"
En plus de cette confession, Philippe Bouvard a fait des révélations concernant Laurent Ruquier. Ce dernier a pris la place de Philippe Bouvard à la tête des Grosses têtes. Toujours en colère contre Laurent Ruquier, Philippe Bouvard a raconté que leur mésentente remontrait à loin, lorsqu’il travaillaient sur Europe 1 ensemble : "Cela ne s'est pas bien passé quand on a travaillé ensemble". Selon le journaliste, Laurent Ruquier aurait passé son temps à s’en prendre à lui : "C'est très explicable et c'est humain. Il pensait que ma carrière était terminée, il se réjouissait que je ne lui fasse plus concurrence. Il voulait un peu se venger - en tout cas c'est comme ça que je l'interprète - de ces années où il m'avait couru après sans jamais me rattraper. Il ne disait pas des méchancetés à l'antenne mais il coupait systématiquement tout ce que j'avais dit. Vous savez, l'audiovisuel n'est pas l'école de la bonté".
Par Alexia Felix