La tension est montée entre Sylvie Ortega et Gilles Verdez sur le plateau de TPMP ce jeudi 1er avril. L'ancienne amie de Loana a remis en cause l'"honnêteté" du chroniqueur. Non Stop People vous en dit plus.
Loana : Sylvie Ortega règle ses comptes avec Gilles Verdez
Dans la tourmente, Sylvie Ortega est au cœur des accusations concernant Loana. Depuis plusieurs mois, l'ex star de télé-réalité suscite des interrogations sur son état de santé, entre des nouvelles rassurantes et des informations inquiétantes. Après une overdose médicamenteuse en février dernier, elle a de nouveau été hospitalisée d'urgence à la suite d'une overdose le vendredi 26 mars. Accusée par Loana de lui avoir donné une dose massive de médicaments "pour la faire crever", Sylvie Ortega continue pourtant de parler de son ancienne amie, notamment sur Instagram. Dernièrement, Gilles Verdez l'a accusée de vendre des informations sur Loana auprès de médias. Invitée de TPMP ce jeudi 1 avril, elle a réglé ses comptes avec le chroniqueur.
Échange tendu avec Gilles Verdez
"Aucunement je suis payée pour balancer des infos (...) Je fais en sorte de donner très peu d'interviews et m'exprimer sur mon compte Instagram justement afin qu'on ne dise pas qu'on me paie", s'est-elle défendue avant de porter des accusations contre Gilles Verdez. L'ancienne agente de Loana a laissé entendre que le journaliste lui aurait proposé de l’argent afin d'obtenir des informations sur l'ex star de télé-réalité. De quoi piquer au vif Gilles Verdez. "Retirez ce que vous avez dit. Vous mettez en cause mon honnêteté, c’est dégueulasse ça", a lancé Gilles Verdez en colère.
Tandis que Cyril Hanouna a défendu son chroniqueur, il a tenté de calmer les tensions en demandant à Sylvie Ortega si elle avait des nouvelles de son ancienne amie. "Loana, c’est quelqu’un qu’on ne peut pas soigner, et qui vous plante des couteaux dans le dos. On voit bien quand même qu’elle sait ce qu’elle fait. Elle n’est pas tout à fait… Voilà. Donc oui, j’ai des nouvelles parce qu’on en a tous, quand même. Mais bon. On ne peut pas sauver le monde", a-t-elle simplement répondu.
Par Marie Merlet