Selon des révélations du journal Le Monde, Michel Sarran officierait dans un restaurant clandestin. Le chef emblématique de Top Chef a fait une mise au point ce vendredi 23 avril. Non Stop People vous en dit plus.
Michel Sarran : Le chef impliqué dans des dîners clandestins ? Il s'explique
Michel Sarran déplore un "très mauvais et très injuste procès". Ce jeudi 22 avril, une enquête du Monde a révélé que Michel Sarran serait impliqué dans des dîners clandestins. Selon le journal, le chef emblématique de Top Chef a signé la carte du Club TP90 qui serait un "restaurant d'entreprise" voire même "un club de direction" mis à disposition pour la Fédération nationale des travaux publics. Alors que le ministère du Travail a déclaré que "ces restaurants sont censés être fermés", Michel Sarran a nié l'illégalité. Face à cette affaire, le chef a fait une mise au point dans un communiqué où il assure ne pas être "présent lors de ces déjeuners ou dîners à la Fédération Nationale des Travaux Publics".
Michel Sarran s'explique
"Je ne suis qu’un prestataire de service qui a signé la carte de cette Fédération. Un de mes salariés est délégué à la cuisine de cette Fédération. Je (et/ou mon salarié) ne m’occupe aucunement des réservations dans ce restaurant d’entreprise/fondation, ni de la décision d’ouvrir ce restaurant d’entreprise/fédération. Cette prestation intervient dans le cadre d’un contrat annuel et ma société est rémunérée directement par la Fédération Nationale des Travaux Publics et aucunement par les personnes présentes à ces déjeuners ou dîners", a-t-il expliqué. Sans avoir "connaissance de l’identité des personnes qui viennent déjeuner ou dîner dans ce restaurant d’entreprise/fondation", Michel Sarran rappelle que "la plupart des grandes entreprises françaises continuent à assurer ce service auprès de leurs salariés et de tiers conviés dans un cadre professionnel tous les jours". A propos des dîners se déroulant après le couvre-feu, le chef assure que la "restauration collective est autorisée pour les salariés travaillant à des horaires décalés".
Par Marie Merlet