Ce mardi 23 février, M6 donne le coup d'envoi de la toute nouvelle saison de "Pékin Express". Si l'aventure a pu démarrer en Afrique sans encombre, la suite de l'aventure a été impactée par la crise du coronavirus. Ainsi, la production a dû s'adapter, tout comme les candidats, notamment lors d'une étape emblématique du jeu où ces derniers sont au plus proches de la population. Non Stop People vous en dit plus.
Pékin Express 2021 : cette étape incontournable de l'émission impactée par le coronavirus

C'est le jour J ! Ce mardi 23 février, M6 donne le coup d'envoi de la 14e saison de "Pékin Express". L'occasion pour les téléspectateurs de retrouver Stéphane Rotenberg aux commandes de l'émission. Ce dernier a fait connaissance avec huit nouveaux binômes. Et cette année, l'aventure commence fort, puisque les 16 candidats en compétition ont posé leurs valises en Afrique et ont découvert LA nouveauté de cette édition, à savoir la voiture bonus. Une idée que la production a eue après avoir constaté qu'il était très difficile de trouver une voiture dans cette région. Ce qu'a précisé Thierry Guillaume - producteur de "Pékin Express" - en décembre dernier, lors de la conférence de presse organisée avec plusieurs médias - dont Non Stop People - et en distanciel, coronavirus oblige.
C'est une saison "particulière" que les équipes et les candidats ont vécue cette année. En effet, la pandémie mondiale a démarré pendant le tournage de l'émission, ce qui a forcément eu un impact sur la suite de l'aventure. Les équipes ont dû s'adapter, s'organiser, rapatrier les gens. Elles ont réussi à relancer le tournage avec une nouvelle route (Afrique, Europe et Asie) et sans changer le casting de départ, et ça en seulement quelques mois, six au total. "Ça n'a pas été une saison facile, mais je crois que ce sera du coup une saison un peu témoignage et emblématique de toutes les saisons confondues", a commenté Stéphane Rotenberg.
Une nuit à la belle étoile ?
Cette pandémie a aussi eu un impact sur une étape bien connue des fans de "Pékin Express", à savoir la recherche d'habitation. Les candidats y sont-ils parvenus, et ce malgré les règles de distanciation sociale ? "Les règles étaient là. Les candidats étaient masqués avec des masques transparents, même pendant le stop. On était tous très testés puisqu'on avait toujours le risque d'être qualifié de cluster par les autorités sanitaires locales. On était 140. Donc on avait un protocole sanitaire très strict entre nous", a répondu Stéphane Rotenberg.
Et de poursuivre : "Les candidats arrivent à trouver des maisons, mais certains d'entre eux, non. Exceptionnellement, sachant que ce n'était pas des pays dangereux, certains pouvaient dormir dehors quand vraiment, ils ne sont pas arrivés à trouver un logement. C'est arrivé à quelques exceptions près (...) Ça a été plus difficile. Les gens à table sont parfois un peu plus prudents, ils leur demandent de dormir dans le jardin ou dans une remise (...) Cette recherche d'habitation, c'était dur, mais possible".
Par Clara P