Rayane Bensetti, toujours très touché par la mort de son papa en 2018, a eu une pensée émue pour ce dernier sur le plateau de "La Chanson Secrète" vendredi 15 janvier 2021. Le comédien n’a su contenir ses larmes. Non Stop People vous donne plus de précisions.
Rayane Bensetti en larmes : pensée émue pour son père décédé dans La Chanson Secrète
Vendredi 15 janvier 2021, TF1 diffusait un épisode inédit de "La Chanson Secrète". Ainsi, Rayane Bensetti, David Douillet, Gérard Darmon, Hugues Aufray, Hélène Segara, Pierre Perret et Shy'm se sont succédé sur la scène pour découvrir les surprises de leurs proches. La soirée a été particulièrement forte en émotion. Notamment pour le jeune comédien Rayane Bensetti lorsque son oncle, Jafar, ses amis d’enfance, Moundir et Mamé, accompagnés de Kendji, Vitaa ont chanté "Le cycle de la vie". Une chanson tirée du dessin animé de Disney, "Le Roi Lion". Cette surprise a beaucoup touché Rayane Bensetti. Et pour cause, l’acteur a eu une pensée émue pour son père.
Rayane Bensetti a perdu son papa en 2018
Sans cacher son émotion, Rayane Bensetti a expliqué : "J’ai eu la chance de faire Simba, dans cet incroyable film, donc c’est un rêve de prêter une voix à un Disney. Encore plus au dessin animé qui m'a porté toute mon enfance. C'est le premier film que j'ai vu… C'est le premier film que j'ai vu avec mon père". L'ancien participant à "Danse avec les stars" a de nouveau fondu en larmes, puis déclaré : "C'est un truc qui nous a suivi… jusqu'aujourd'hui. Il n’a pas su que j'ai pu faire cette voix au cinéma. Aujourd'hui je prends un petit peu les patins de Simba et j'essaye d'avancer comme lui". C’est en février 2018 que Rayane Bensetti a perdu son papa, Bachir, des suites de maladie de Charcot. Cette maladie entraine une paralysie progressive causée par la dégénérescence des neurones. Rayane Bensetti, qui a très mal vécu la mort de son père, avait confié en 2018 : "Aujourd’hui, tout s’arrête pour moi. Ce n’est pas un simple coup dur… La vie vient de m’enlever l’être que j’avais de plus cher à mes yeux".
Par Matilde A.