C’est en 2008 que Valérie Bègue est sacrée Miss France. Et si la jolie brune a toujours affiché une silhouette de rêve, cette dernière a dû faire face à une importante prise de poids lors de sa grossesse. En effet, Valérie Bègue a avoué avoir pris pas moins de 26 kilos durant les neuf mois qui ont précédé la naissance de sa fille Jazz. Alors qu’elle participera prochainement à l’édition VIP du Meilleur Pâtissier, Valérie Bègue est revenue sur sa grossesse ainsi que sur sa nouvelle passion pour la pâtisserie. Non Stop People vous en dit plus.
Valérie Bègue : Sa grossesse lui a fait prendre 26 kilos !
En 2008, les français décident de sacrer Valérie Bègue comme étant la nouvelle Miss France. Et si le règne de la pétillante brune a été très mouvementé, cette dernière est toujours présente dans l’actualité. En effet, l’ancienne Miss France va prochainement participer à l’édition VIP du Meilleur Pâtissier. Et si Valérie Bègue a accepté de montrer ses talents de cuisinière à la télévision, sa passion pour la pâtisserie est née après sa grossesse. C’est du moins ce qu’a expliqué l’ancienne compagne de Camille Lacourt. « J'adore cuisiner, surtout des préparations salées. Mais après la naissance de Jazz, je me suis mise petit à petit à la pâtisserie, notamment pour lui préparer de bons goûters. Elle participe, elle regarde les recettes dans mes livres de cuisine et on les fait ensemble. C'est un vrai moment de complicité. »
"j'ai eu beaucoup de mal à retrouver la ligne"
Et si Valérie Bègue adorent façonner des goûters haut en couleur pour sa fille Jazz, l’ancienne Miss France 2008 a également levé le voile sur le nombre de kilos qu’elle a accumulé durant sa grossesse. « Jusqu'à ma grossesse, je pouvais manger tout ce que je voulais sans prendre un gramme et sans faire de gym. Depuis que je suis maman, tout a changé ! J'ai pris 26 kg pendant ma grossesse et j'ai eu beaucoup de mal à retrouver la ligne. Aujourd'hui, je me suis mise au sport pour pouvoir rester gourmande. Mais si on me retire mon saucisson à l'apéro, je pleure ! »
Par Nataly Salmeron