Yves Lecoq est l’invité de "L’instant de Luxe" sur Non Stop People mardi 12 mai. L’humoriste s’est confié en toute honnêteté sur l’argent, évoquant le coût impressionnant de ses châteaux et son salaire dans Les Guignols.
Yves Lecoq endetté : le coût impressionnant de ses châteaux (exclu vidéo)
Si Yves Lecoq a très bien gagné sa vie ces dernières décennies grâce notamment à ses émissions "Les Guignols de l’info" sur Canal + et "Les Grands du rire" sur France 3, l’humoriste est loin de rouler sur l’or. Dans "L’instant de Luxe", l’artiste confie être endetté. "Je n’ai pas d’impôts sur la fortune tellement je suis endetté", indique-t-il avant d’ajouter : "J’ai des charges pour l’entretien des châteaux, pour qu’ils continuent de tourner". Une situation délicate accentuée par l’arrêt brutal de l'émission "Les Grands du rire" en 2019 notamment. "Vous, vous n’avez plus les revenus, donc il faut le temps de vendre des choses", souligne Yves Lecoq qui estime n’avoir "jamais eu beaucoup de chances avec l’argent".
Tous les salaires de l’humoriste dépensés pour ses biens immobiliers
En effet, l’humoriste a dépensé beaucoup d’argent dans l’achat de ces châteaux. S’il a pu les acheter "au prix d’une ferme", il trouve difficilement acquéreur lors de la revente. Si l’artiste a fait cela "par passion", il indique "qu’on ne peut pas mettre d’argent de côté" quand on a des châteaux. Ainsi, la majorité de ses revenus passe dans les frais de ses châteaux. "Un château coûte en termes de frais, 10 000 euros par mois", indique Yves Lecoq qui possède quatre châteaux. Il a donc 40 000 euros de frais par mois environ. "J’ai tout mis là-dedans", révèle l’ancien participant de "Mask Singer" sur Non Stop People. "En ce moment ce n’est pas très agréable, on se lève le matin pour appeler tel ou tel huissier", dévoile le célèbre imitateur. Questionné sur ses salaires, Yves Lecoq confirme qu’il touchait 20 000 euros de salaire pour "Les Guignols de l’info" et 20 000 euros pour "Les Grands du rire". "Tout était dépensé (dans les châteaux)", répète l’artiste.
Par Ambre L